Après les enfants de la famille, les sondages montrent que les photographes mitraillent leurs animaux de compagnie (chien, chat, oiseau, poisson rouge, etc.) plus que tout autre sujet. Et c’est bien normal puisque c’est un sujet très accessible mais aussi généralement chargé en émotion.
Les Y-trucs de ce mois sont donc consacrés à nous aider à passer à la vitesse supérieure pour que nos photos soient à la hauteur de l’intérêt que nous portons à ce sujet si proche.
- Choisissez le meilleur moment : profitez du fait que votre modèle vous est proche pour choisir le moment où il est le plus disponible, le plus coopératif.
- Descendez à hauteur du sujet : comme pour beaucoup d’autres sujets, l’animal est mieux photographié à hauteur d’œil, même si cela veut dire qu’il vaut mieux se coucher au sol ou photographier un animal qui est monté sur un meuble.
- Surveillez l’arrière-plan : à la maison ou en extérieur, le fond de l’image peut perturber sa lecture. Choisissez un arrière plan adéquat, ou utilisez une grande ouverture pour le rendre flou.
- Incluez son environnement : choisissez un beau lieu qui est représentatif de l’animal et ne cadrez pas trop serré (un champ ou une plage, par exemple).
- Verrouillez le cadre : à l’opposé, vous pouvez vous approchez énormément d’un animal qui est coopératif. Pourquoi ne pas tenter la photo d’un détail (un oeil, une oreille, un bout de queue) ?
- Composez une scène : encore une fois, comme votre animal est plus coopératif que le chat du voisin, profitez-en pour essayer la mise en scène. Mais soyez sûr de tout préparer avant d’amener l’animal ; il sera moins patient que la plupart des modèles humains.